Voici toutes les informations sur le Association ou organisation EHPAD ARPAVIE Verdi qui ce trouve au 2 Rue de la Croix Rouge, 94520 Mandres-les-Roses (94). Sur cette fiche vous trouverez les photos, l'adresse, les horaires d'ouverture, le numero de téléphone et les avis clients.Vous pouvez églement rédiger un avis si vous le souhaitez en bas de page.
Veuillez completer le formulaire ci-dessous.
Une équipe de choc toujours à l'écoute. Empathie, gentillesse et surtout une bonne communication. Je recommande vivement!
Personnel et direction attentifs, dévoués et très sympathiques. Mon père y est placé depuis 6 mois et la qualité des prestations est bien meilleure, et de très loin, que dans l'établissement privé dans lequel il était auparavant à Asnières, établissement qui pratiquait des tarifs scandaleux au vu du peu de travail effectué. Dans la résidence Verdi il est correctement lavé, rasé, sa chambre est toujours propre et le personnel fait en sorte de satisfaire ses besoins alors qu'il est pourtant très difficile et caractériel. Bref, l'humain l'emporte sur l'argent et c'est assez rare pour le souligner. Un grand merci à toute l'équipe de la résidence Arpavie pour son travail.
Ravie d'avoir rejoint l'équipe !
A éviter si possible pour votre proche. Directrice ne fait preuve d’aucune empathie, tout comme certains soignants. Ne prennent pas en compte l’inquiétude de la famille. Ont fait preuve de négligence auprès de ma maman.
Établissement décevant, à fuir. La cadre de santé et la médecin coordinatrice font preuve d'un refus d’écoute certain et d’un manque d’empathie dramatique au vu du milieu. « Bienveillance et humanitude » ne sont pas des mots connus de ces personnes. Définition de « personne de confiance » non assimilée par la direction car pour rappel : La personne de confiance est une notion de droit français de la santé. Elle a été créée initialement pour favoriser le consentement des personnes hors d'état de s'exprimer, suivant ainsi l'avis no 58, 12 juin 1998 du CCNE, le Comité consultatif national d'éthique. Dans cet établissement on se sert du terme « personne de confiance » pour n’avoir qu’un seul interlocuteur par famille et éviter de prendre en compte des informations cruciales d’autres aidants naturels qui connaissent le parent. Encore une fois, on ne veut pas s’embêter. La continuité des soins du domicile vers la maison de retraite n’est pas assurée car il y a apparement un « ordre de priorités ». Il nous a été demandé au bout de 4 jours d’arrêter de passer voir notre parent tous les jours. Après toute une vie passée au domicile, un placement en maison de retraite est difficile à encaisser alors si nous avons la possibilité de venir tous les jours pourquoi nous en empêcher ? Le règlement intérieur n’est pas approprié puisqu’il n’est pas respecté : pendant une hospitalisation la chambre doit être fermée à clé et il se trouve que du matériel médical appartenant à notre parent disparaissait ainsi que de la nourriture. Une fois le matériel retrouvé on nous disait d’arrêter de, je cite, « chercher les problèmes » car l’essentiel est que le matériel a de nouveau re fait surface. Le soucis n’est pas là, le matériel n’aurait jamais dû quitter la chambre puisque celle-ci doit être fermée à clé en cas d’absence du résident. La personne accueillie est pourtant considérée comme étant « chez elle » et s’acquitte d’un loyer mensuel (frais d’hébergement). Enfin, la formation aux premiers secours n’est visiblement pas acquise par certain membre du personnel (cadre de santé). Notre parent fait un malaise, on le laisse assis sur une chaise pendant 10 minutes avec une chute de tension à 7 (au lieu de 14,6 en temps normal) et une perte de connaissance. La position latérale de sécurité n’est pas réalisée ? Alors que celle-ci sauve des vies chaque jour et qu’elle fait partie intégrante des gestes de premiers secours à maîtriser surtout quand on travaille dans un établissement médicalisé. En espérant que ces informations feront réfléchir les familles en recherche d’établissement pour personnes âgées.